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Le retour aux ventes de bois d'oeuvre sur pied

Permettre aux acteurs économiques de la filière bois de mieux valoriser le patrimoine forestier et leur faciliter l’accès à la ressource à travers :

  • Une parfaite maîtrise du processus de transformation des produits forestiers, de l’exploitation aux différents stades de transformation et de stockage, en laissant aux acheteurs le pouvoir de décider du choix : Des dates d’abattage (conservation, préservation de la qualité, ajustement de l’offre et de la demande…), des découpes (meilleure valorisation, meilleure réactivité pour répondre aux demandes spécifiques du marché français et de l’export…), des massifs (essences, conformation, grain, couleur…),

 

  • La préservation et la valorisation des savoir-faire complémentaires des différents acteurs, de l’exploitant aux transformateurs,

  • La favorisation des approvisionnements de proximité et la priorité à la transformation locale, via une bourse d’échanges et le développement de contrats de préférence.

 

Pour permettre une optimisation des ressources issues des forêts domaniales et communales, le SEFB demande à l'ONF et au Ministre de l’Agriculture que :

1/ Les bois d’œuvre vendus en bloc et sur pied par appels d’offres représentent, dans chaque région ONF, au moins 75% des volumes commercialisés,

2/ le façonnage par l'ONF se limite aux coupes difficiles à exploiter, aux cas d'urgences sanitaires et aux coupes invendues dont l'écart de prix est important avec le mieux disant.

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